Chères Valréassiennes, chers Valréassiens,
L’arrivée du printemps marque ce mois de mars. Et si nous sommes actuellement spectateurs de ce réveil saisonnier, qui annonce les floraisons et le retour des « beaux jours », nous sommes tous prêts à devenir acteurs de nos passions estivales, tels le jardinage, le potager, l’activation des piscines, etc., des activités gourmandes en eau potable pour lesquelles nous devons accroître notre vigilance. Si l’eau est un élément vital, nous devons garder à l’esprit que l’eau est une ressource qui se raréfie. En quelques décennies, l’eau est plus que jamais devenue un enjeu majeur pour nos collectivités, tant sur sa disponibilité, que sur sa qualité.
Si nous avons tous conscience de la douceur de vivre dans une région méditerranéenne où le taux d’ensoleillement départemental est l’un des plus élevé de France, nous devons également anticiper les effets du changement climatique, qui se traduisent par « un fort réchauffement, des sécheresses importantes et des précipitations moins fréquentes, mais plus intenses et plus concentrées ». C’est donc un défi collectif qui s’ouvre à nous, car l’eau n’est pas une ressource rare comme les autres, chacun est responsable et doit contribuer à sa mesure.
En tant que maire de Valréas, Président de la Communauté de Communes de l’Enclave des Papes – Pays de Grignan et Conseiller Régional, « l’eau » est devenue un de mes combats pour l’avenir. J’ai besoin de la mobilisation de chacun, car cela nous concerne tous, à titre individuel, collectif, économique, territorial, départemental et régional.
Gardons à l’esprit que « l’eau est la source de toute chose et de toute existence », elle est le bien le plus précieux pour l’humanité pour nos territoires d’abords.
